1989 : Il fonde le Concours International des Grands Amateurs de Piano
2000 : Il devient Directeur du magistère banque-finance et du DESS master 2 de techniques financières et bancaires de Paris-II
2007 : Il devient président de l’Afer
1989 : Il fonde le Concours International des Grands Amateurs de Piano
2000 : Il devient Directeur du magistère banque-finance et du DESS master 2 de techniques financières et bancaires de Paris-II
2007 : Il devient président de l’Afer
Gérard Bekerman est Adhérent de l’Afer depuis 1987, Administrateur depuis 2005 et Président depuis 2007.
Universitaire de renom, Gérard Bekerman a débuté sa carrière comme assistant de Raymond Aron au Collège de France. Il l’a poursuivie comme professeur en visite à UCLA (University of California Los Angeles) et au M2 de Techniques Financières de l’Université de Paris 2 qu’il a dirigé jusqu’en 2014. Il est aujourd’hui directeur de la Chaire Essec Finance. Il est l’auteur de nombreuses publications scientifiques sur les modèles mathématiques de valorisation d’options et d’ouvrages qui font autorité parus aux Presses Universitaires de France sur les comptes publics et les sujets monétaires et financiers internationaux.
Gérard est diplômé de l’Ecole Normale de musique et fondateur du Concours international des grands amateurs de piano, évènement culturel qu’il préside et qui réunit chaque année à Paris 100 candidats venus de tous les pays du monde entier.
réalisée le 5 Décembre 2007, par YANN VERDO
Vous habitez : une petite rue à Paris, si loin de mon amour des régions de France
Vos enfants : Céline, Adrien et Florent
Vos qualités : probablement pas assez
Vos défauts : sans doute trop
Votre dernier film : hélas, il doit remonter à dix ans
Un auteur : Pascal
Une valeur : l’amitié
Un but : convertir le mal en bien
Votre dernier achat : un manuscrit de chants grégoriens du 16e siècle
L’argent : ce n’est pas l’argent qui permet de distinguer qui a du mérite et qui n’en a pas (Brutam quia dignum atque indignum nequeat internoscere).
Votre ville préférée : Bayreuth, en Bavière
Votre revue : Commentaire
Une faiblesse : ma passion, le piano
Vos week-ends : la famille
Votre sport : entre l’OL, l’OM et le PSG, on se dispute souvent à la maison
Ce qu’il ne faut pas faire : contrarier la nature des choses
Le siècle que vous aimeriez vivre : le XXIIe, mais il y a peu de chance… le nôtre me plait
Le mal du siècle : la perte du sens des convenances
Une reconnaissance : celle de la compétence et de l’efficacité
La politique : l’individu sait mieux que l’État ce qui est bon pour lui
Le meilleur économiste : certainement pas moi ; peut-être Hayek
Un bon gouvernement : celui qui s’abstient de trop décider
Et Sarkozy : enfant, il adorait jouer à la pétanque avec moi sur les plages de Pontaillac car j’étais un fin pointeur, lui avait d’autres qualités, il l’a prouvé…
Vous aimez : servir
Votre devise : l’histoire résulte moins de la volonté des hommes que de la nécessité des choses
Une humiliation : ne plus être libre
Vous étiez à l’Elysée le 17 décembre dernier ; qu’avez-vous dit ? Que je préfère 1 euro dans la poche de nos 700 000 Adhérents plutôt que dans celle de l’État
Et pour finir ? Pour finir, j’aimerais bien citer Montesquieu : » Je souhaite avoir des manières simples, recevoir des services le moins que je puis, et en rendre le plus qu’il m’est possible » (Oeuvres, Pensées diverses, T.7, p.253)